La terreur... Encore... (partie 6)

bon j aimerais qu on déplace ma carcasse

"tinette volait de plus en plus elle savait que sa vie ici bas était terminée ...la chiante , la râleuse ..était tombée sous les loups ..."

Edit admin
"Trouvez moi une charrette, une planche ou je ne sais quoi... Il faut emmener ces deux... corps... Je vous attends au poste de police.
Nadou regarda tout le monde encore une fois, puis s'éloigna."
Si tu lisais ce que les autres écrivent avant toi avant de poster, tu verrais que c'est fait, les corps ont été emmenés au poste de police.
Nadou.

Edit :
Oui j'ai supprimé ton edit, je suis fatiguée là.

censure donc , tu as ce pouvoir q u il est doux celui là n est ce pas ...tu te relis meme pas ....demander n est pas faire ....notre confli n a pas lieu d étre ici ... c est un jeu !de loups garou

Edit :
Aucun conflit là dedans Lechtinette, pour moi en tout cas
Ce que je voulais dire, c'est que tu t'étais inscrite à un jeu rp justement, et malgré tous les mps du maitre du jeu, tu n'as pas posté une seule fois quand tu étais vivante... Tu postes maintenant que tu es morte, ce qui est loin d'être logique, d'où mes remarques.

pas eu temps désolée

[je me permets de faire avancer le rp]

Plusieurs villageois avaient acquièscé à la demande de Dame Tziira. Doucement, peureusement, chacun prit l'ardoise tendue par cette dernière. Par peur, ou pudeur, ils déposèrent les ardoises face contre terre en tas. Quand tout le monde eu noté un nom, Merlinne se leva et déposa sa propre ardoise. Elle dit:

- Puisque personne n'ose, je vais mélanger les ardoises et lire les unes après les autres.

Déglutissant difficilement, elle commença à montrer les ardoises.

- Dame Chatounne. Tous les regards se tournèrent vers elle. Levant la suivante: Dame Chatounne... Dame Chatounne... Dame Chatounne... Voyant que cette dernière reculait, des hommes l'encadrèrent. Le décompte fini, il apparu que cette dernière apparaissait coupable aux yeux de beaucoup de monde. Déjà, d'autres hommes avaient commencé à monter un bucher. La pauvre femme était blanche comme la mort. La foule commenca à s'agiter. La mort attirait toujours du monde...

Certaines femmes se cachaient les yeux. Les hommes, eux, avaient une flamme déjà allumée dans les yeux. Ils ne prendraient aucun risque pour leurs femmes et leurs enfants, ils mettraient cette femme à mort, coupable ou non.

Ceux qui tenaient Dame Chatounne l'amenèrent au pilori entouré de bois et l'y attachèrent. Quelqu'un amena une torche. Mais personne n'avait encore le courage de la jeter sur le bois... Tout le monde se regardait, personne ne bougeait et pourtant, la nuit commençait à arriver, il fallait en finir vite!

Deedje écouta merlinne annoncé le nom de chatoune.

La dame avait le regard vide en sedirigeant doucement en dehors de la foule.
Sur un signe de tête du lieutenant Nadou, Deedje saisi la dame par le bra afin de la retenir.

Il glisse quelques mots à l'oreille de la dame.

-Désolé madame, ne m'en voulez pas, mais les loups garou doivent périre.

Elle aurait pu parfaitement s'enfuir si elle avait voulu. Oui elle avait reculé au départ, son instinct animal voulant prendre le dessus. Tenté de fuir pour continuer la chasse. Déchiqueter la chair. La lascérer. La manger. La déguster accroupie sur son scéant dévorant tout ce qu'elle pouvait.

Elle n'en fit rien. Son coté humain encore trop éveillé même si déjà elle sentait les poils pousser dans son dos, ses bras, Chatounne désirait en finir de cette vie meurtrière qui la dégoutait à chaque fois qu'elle reprenait sa forme humaine.

C'était pour elle l'horreur dans ses entrailles. Découvrir à chaque lendemain de veille, se qu'elle avait pu faire et pire, tuer des gens qu'elle aimait, appréciait dans sa forme de femme. Qu'elle en était malade.

Quand Deedje lui glissa ces quelques mots, docilement elle se laissa mener au bucher. Elle ne regarda personne. Surtout ne pas trahir les autres, malgré qu'elle portait en horreur ce qu'ils étaient.

Et l'enfant qu'elle risquait d'avoir un jour à être ce qu'elle était ne naitra jamais. Elle ne pouvait concevoir de mettre un enfant de cet espèce là au monde.

Attaché au pilori, doux souvenirs de sa geole Artésienne, Chatounne resta fiere contre ses gens devenus fous. Désireux d'en finir pour ce soir. Elle les comprenait si bien.

Pourtant un rugissement sorti de sa bouche. Non, elle ne prenait pas forme encore. C'était que l'animal en elle, se sentant traqué tentait de montrer sa colère, son mécontentement. De réagir qu'elle Cria pendant qu'elle pouvait encore parler normalement,

MAIS ALLE-Y allumez le ce feu. Vous aurez un loup garou de moins. MAIS FAITE VITE.

L'animal voulait sortir en elle. Elle rugit à nouveau. Il fallait qu'elle se taise. Pour ne pas faire sortir trop vite chez ses comparses leurs identités. Car bien sur qu'ils étaient sur place.

Elle ferma les yeux, entendit des pas, des bruissements et des pétillements avant que le feu vint. Quelqu'un eut le courage de le faire. Enfin! Ses jambes sentirent la chaleur. Les cris de joies des villageois s'ajoutèrent à sa fin.

Elle retint le plus longtemps les cris animals qui voulaient se faire entendre. Il ne fallait pas. Surtout pas.

Non chatounne, retient toi. Sauve les. Du moins, ne les trahis pas.

Quelques secondes plus tard, dans un rugissement de souffrance animal, Chatounne s'éteignit pour qu'ensuite le feu la brulà totalement.

Il ne restait que l'odeur de chair brulée. D'un corps calciné. Oui les villageois avait bien choisis,

Petroi avait reconnu l'esprit pratique de Nadou lorsque les ordres avaient fusés. Il manqua de sourire en la voyant ainsi transformée, mais l'inquiétude repris vite le dessus. Il suivit le déroulement des évènements, anésthésié par sa nuit de garde et le tragique résultat au réveil.
La journée avançait et il avait du mal à se faire à cette idée ...des loups garous dans la ville ? Qui cela pouvait-il bien être ?
Il est vrai qu'un certain nombre de personne étaient arrivées recemment et qu'il les connaissaient peu. Mais de là à les juger coupables et dangeureuses, il ne savait dire.
Il suivit donc le vote et vit le choix des autres habitants.
La dame chatounne fut vite entourée et ne montra pas une grande résistance pour un être soi disant sauvage, voisin d'un loup.
Elle fut vite attachée sur le bucher. L'assemblée, comme pétrifiée avant de commettre l'irréparable, ne disait plus un mot. Personne n'osait bouger, la tension à son paroxisme.
Petroi fut surpris d'entendre le cri d'aveu de la coupable déchirer la nuit. Alors, assumant le rôle de l'autorité, il finit par prendre la torche d'une main anonyme et l'approcha du bucher en espérant ne pas faire une horrible erreur.
Il enflamma finalement le bois et la chaleur le força à reculer.
Mais il frissona quand la bête lâcha son terrible hurlement ....

"Une de moins' pensa-t-il ..".mais combien en reste-t-il encore ?"

Juben c'etait fait surprendre par deux loups et un troisieme arriva de par son dos et lui morda la gorges , jusqu'a se que mort sans suive ... !!!!

La sorcière était sorti avant l'aube. Elle tenait d'une main sûr sa potion qui servait à ressusciter les morts. Elle passa devant Doran déja mort sans s'arrêter. Elle vit enfin ce qu'elle voulait voir et s'approcha des restes de monsieur juben. La sorcière était habituée aux cadavres mais celui de juben était bien abimé. La sorcière mit la tête de juben en face de son cou et les membres à leur place. Elle mit des gouttes de la potion dans la bouche de juben et une goutte sur chaque grosse blessure. La sorcière murmura des incantations et les membres se ressoudèrent au tronc. Personne n'avait encore vu sir juben. La sorcière attendit un peu et vit que juben remuait, il était de nouveau vivant. La sorcière ne souhaitait pas montrer son identité alors elle partit, laissant juben seul dans la rue.

(hrp tout le monde a vu que juben il est pas loup garou. C'est grave ou pas ? Parce que moi je ne sais pas qui va mourir à l'avance et donc qui je veus sauver alors là je fais comme je peux.)

deedje s'était reveillé difficilement, les nuits sont courtes. les tour de gardes commencent a avoir raison de l'endurance de deedje.
Voila bientot une semaine qu'il n'avait pas fais une bonne nuit et cela commencais à se voir.

Il parti en direction du marché pour faire sa ronde matinale, lorsqu'il apercu tziira aupres de quelqu'un allongé.

Demat tziira

Qui est cette ivrogne qui a trop bu hier et qui dort par terre?
tziira ne répondait pas. Deedje continuais de s'approcher lorsqu'il vit que la dame avais un expression d'horreur figé sur le visage.

Il s'approcha encore et reconnu doran au sol. Un soldat n'aurais pas bu pendant sa garde

Que se passe t'il tziira?

Jub rejoingnit Deedje et Tziira.

- Les amis , je me sent tous bizarre la , je sais pas trop se qu'il mets arrivait.Je croyais etre mort mais enfaite je me suis reveiller et ...

A la recherche de Sage …
Il faisait nuit, bien nuit … Sage n’était pas rentré … Sage était le faucon pèlerin apprivoisé de Soizig, son petit compagnon. Elle s’enveloppa dans sa cape et partit à sa recherche. Avec toutes ces rumeurs sur les loups ... elle les entendait hurler dans le lointain … et la nuit de Samhain … Soizig était inquiète !
Elle se signa et les recommanda tous deux à Aristote …



Elle émit la note de musique convenue, leur signe de ralliement, pour l’appeler … Son instinct et sa connaissance intuitive de Sage la poussèrent à prendre à gauche après le pont, en direction du chemin de la Tour de Garde qu’elle remonta vers le chemin des Druides. Lorsqu’elle s’enfonça profondément dans le bois situé derrière le chemin des Druides, elle perçut, enfin, très loin, le cri de Sage … Tendant l’oreille, elle se fraya un chemin dans cette direction et … atteignit une petite clairière bien dégagée, enclose par la forêt dense qui la protégeait …



Tout d’abord très surprise, Soizig ne vit et n’entendit que Sage … et des yeux luisants dans les fourrés, les loups !!! Tout d'abord, elle paniqua, hurla, voulu rebrousser chemin ... mais il y avait Sage ... elle ne pouvait l'abandonner !!! Puis, petit à petit, elle reprit ses esprits et regarda autour d’elle … Ce lieu respirait une paix immense, une sérénité, une énergie, une vitalité dont Soizig se laissa envelopper et imprégner …
Elle y resta un long, long moment, silencieuse, vivant chaque seconde de ces étranges instants, assise à même le sol, laissant Sage accomplir son rituel de nature librement, sans le déranger … Puis, après des secondes, des heures peut-être, Soizig ne savait pas, vint le moment de rentrer à « Ker Soizig ». Ils reprirent alors, Sage voletant devant Soizig, le chemin de la petite chaumière …
- Trugarez, Sage, de m’avoir fait découvrir ce lieu secret … … je reviendrai … Trugarez, Aristote.
Chacun combat avec ses armes !!!
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