La terreur... Encore... (partie 6)

Les loups avaient choisi leur première victime...
Couchée sur le pavé dans une mare de sang, la jeune sergente n'avait pas pu leur échapper. Lechtinette n'était plus...
Avant de trépasser, malgré son esprit embrouillé par la douleur que les crocs des loups lui infligeaient, elle eut une dernière pensée pour l'homme que Cupidon avait mis sur son chemin.

Alors que l'aube pointait, son corps encore chaud gisait au sol. Les badauds matinaux la découvriraient bientôt...


[HRP Bon je vous laisse continuer... Offrez-nous de magnifiques rps !
Les villageois, j'attends vos votes par mp pour savoir qui vous voulez envoyer au bûcher, pour lundi matin au plus tard. A vos soupçons, accusations et défenses !]

Deedje se leva de bonne heure pour se rendre comme tout les jours pour ce rendre à ca boulangerie.

Marchant d'un bon pas car il n'était pas en avance, deedje avance dans les rues en direction de son échoppe.

Arrivant en vue de la bonlangerie, deedje remarqua des traces étranges sur le sol.

Il aperçu quelque chose devant la vitrine de la boulangerie.

Deedje s'approcha prudement mais il fut surpris de voir les restes d'un corps gisant sur le sol, du sang étaler sur sa vitrine...

Le spéctacle n'était vraiment pas beau à voir.

Mais qui cela pouvait être? Qui avait commis un attrocité pareil? Un homme, une bête?
Mais le plus principale, qui était là, au sol, sans vie...

Deedje ne pouvait même pas reconnaitre si qui rester à ses pieds.
A quelques métres de la deedje retrouva une insigne de police avec écrit dessus:

-SERGENT LECHTINETTE

Deedje ne pu pronnoncer un seul mot, il attrapa l'insigne et reparti rapidement en direction de la maison du lieutenant. Il fallait agir vite, le jour n'était pas levé et personne n'avait du voir le corps. Il fallait éclaircir cette affaire le plus vite possible et surtout éviter que des enfants ne voient la scéne.

Deedje parti en courant avec un pincement au coeur...
Lechtinette, sa confrere, n'était plus. Il entendait bien savoir ce qui s'était passé, et rendre justice au coupable en mémoire du sergent defunt.

Hier soir, Merlinne était arrivée sans encombre au Domaine. Durant tout le trajet, elle avait entendu des hurlements de bêtes qu'heureusement elle laissait derrière elle.

Au matin, elle se réveilla en s'étirant et décida de retourner au village prendre des nouvelles, espérant que cette rumeur de loups n'était qu'une rumeur infondée.

Arrivée au village, elle croisa Deedje l'air affolé qui partait en courant. Il était tellement absorbé dans ses pensées qu'il ne vit même pas Merlinne. Intriguée, elle se dirigea de là où il venait. Soudain, elle vit une forme par terre. Avec un mouvement de recul, elle s'aperçu que c'était un corps, ou du moins, ce qu'il en restait.

- Par Aristote... Il ne fallait pas s'y connaitre beaucoup en médecine pour se rendre compte que cette personne était morte... Prenant son courage à deux mains, elle s'approcha du coprs pour tenter de l'identitfier. Il y avait du sang partout. Il ne restait plus qu'un tronc et une tête. Avec une infinie douceur, par respect pour le défunt, elle sorti un mouchoir qu'elle trempa dans une flaque et nettoya le visage ensanglanté. Par tous les saints! La sergente Lechtinette! Qu'Aristote nous garde, si ces monstres ont tué un membre de la police alors qu'ils sont entrainés, que va-t-il devenir de nous!

Merlinne se recula, ébranlée par tant de violence. Qui pouvait donc faire une chose pareille! Il en fallait de la rage pour arriver à démembrer un corps de cette façon. Elle fouilla dans sa besace et en retira un drap qu'elle déposa sur les restes du corps. Ce carnage n'était pas visible pour tout le monde, des enfants allaient arriver, ça leur donnerait bien trop de cauchemards. Ne sachant quoi faire, rester ou partir prévenir quelqu'un, elle décida de veiller le corps et de prier. Elle s'installa sur une souche non loin du corps et pria. Pour la défunte, pour tous les briochins, pour sa fille. Pourvu que ce ne soit là qu'une victime solitaire...

En début de matinée, Elle vint au village pour sa miche de pain habituelle. Les manger fraiches et encore chaudes était un plaisir. Mieux que froides, seches et accomapgnées de quelques insectes s'y régalant aussi.

Humant l'air, Chatounne trouva qu'elle sentait étrangement. Qu'une odeur, plus qu'elle avançait, plus elle s'intensifiait. Une odeur de,

Sang?

Elle frissonna et s'arrêta quelques secondes, incertaine à savoir si elle devait poursuivre. Ces cris cette nuit, cette odeur maintenant! Pour reprendre sa marche et se sermona a son manque de courage.

Et si .....?

Elle ne termina pas sa phrase. Elle venait d'apercevoir des gens près de la boulangerie. Là où elle achetait son pain matinal. Plus elle avançait, plus elle voyait les détails de la situation et, vit un corps allongé. En fait, ce qu'il semblait en rester.

Qu'elle se retint de vomir devant cette horreur.

Qui était-ce ? demanda-t-elle en s'accroupissant pour regarder sous la couverture.

Son coeur cessa de battre quelques fractions de secondes en la reconnaissant

Tinette.

Elle regarda les autres, et commença à s'interroger. Tout ça était trop mystérieux.

Qu'est-il arrivé à cette pauvre femme? Elle jeta un regard à Dame Merline qu'elle avait croisée la veille en taverne. Ainsi que Dame Ristori qu'elle avait vu au domaine de Jugen et l'autre, Deedje vu aussi en taverne. Et tous, semblaient bien tétannisés a cette ......cette chose qui se passait.

N'en pouvant plus, elle se releva et alla vomir dans un coin avant de revenir.

Elle était blanche.

MAIS c'est quoi la cause de ÇA? cria-t-elle plus qu'elle ne parlait, presqu'hystérique!

erf , je suis morte ....je l ai meme pas vu venir ...pas eu le temps de me défendre ,

tinette , regardait cela des nuages ...sachant qui étaient les loups mais ne pouvant rien dire ....ah mes amis adieu ...le vent prit son humble personne et l ennemena vers au dessus du ciel là ou les étoiles brillent .

Ryo se leva comme à son habitude en début de matinée. Le sommeil avait été long à trouver. Les hurlements revenaient sans cesse. L'état avancé de fatigue et de nervosité dans lequel il se trouvait la veille l'avait maintenu éveillé une bonne partie de la nuit, se tournant et se retournant dans sa couche.
Les lueurs de l'aube l'avait vu tel qu'il était ce matin là, les yeux cernés et la mine fatiguée.
Il se dirigea vers son garde-manger et attrapa le reste de morceau de pain. Il était sec et avait commencé à moisir. Il le trempa dans le seau d'eau qui trainait près de la table.
Une fois rassasié, il partit pour la taverne. Il devait passer d'abord par la boulangerie pour refaire le stock de pain de la taverne.

Il vit tout de suite que quelque chose s'était produit. En temps normal, il n'y avait pas autant de monde. Là il voyait un attroupement avec beaucoup d'agitation. Le temps de s'approcher, il vit son amie Chatounne se diriger en courant dans un coin pour vomir. Il avait dû se passer quelque chose de vraiment grave...
Fendant la foule de ses bras, il s'approcha de la source d'agitation. Il ne vit qu'un drap ensanglanté dans un premier temps. Il s'agenouilla et releva le drap pour prendre connaissance de ce qui était dessous. Ce qu'il vit le fit blêmir. Sous le drap se trouvait ce qui avait été une personne, mais qui maintenant se résumait à un vulgaire tronc couvert de sang et de griffures. La peau était déchiquetée et on apercevait par endroit l'os. Seule la figure avait été à peu près épargnée. Lechtinette... Son amie n'était plus. Elle avait été dévorée par une bête féroce.

Il reposa le drap et se releva brusquement. Les émotions fortes qu'il venait de subir le firent tituber légèrement. Après s'être ressaisi, il sentit la colère monter.

Il hurla:

QUI? QUI A PU FAIRE ÇA..?

Doran était déjà la, dans le groupe, il vit arriver Ryo qui alla voir qui était sous le drap:

Citation :

QUI? QUI A PU FAIRE ÇA..?

Doran se rapprocha de Ryo,

- Je vais faire le nécessaire pour savoir ce qui a fait ça...je te le promet. Tout d'abord, je vais demander a toutes les personnes qui ne sont pas dans la police ou dans l'armée de se retirer de ce lieu...Certains villageois quittèrent le lieu du carnage. Il ne restait plus que les militaires et les agents de police...

Le corps de la sergente était toujours au sol, recouvert d'un linge par endroits maculé de sang. Les badauds matinaux, choqués par cette découverte macabre, s'étaient éloignés suite à la demande de Doran, qui semblait vouloir prendre les choses en main... par véritable désir de vengeance, ou par leurre... Après tout, tout le monde était suspect...

Un homme s'avançait d'un pas hésitant, titubant dans la ruelle, en direction de la boulangerie.
"Pauvre sergente"... "Quelle horreur que ce qui est arrivé à cette Lechtinette"... entendait-il tandis qu'il progressait vers le corps. Il n'y croyait pas, ça ne pouvait être elle... C'était impossible.
Tremblant, il se laissa tomber à genoux près du corps, alors que les personnes présentes le regardaient dans une incompréhension totale. Lentement, il souleva le drap et découvrit le visage encore ensanglanté de cette femme dont il était éperdument amoureux.
Non ! Non ! Pourquoi ? Pourquoiii ????
L'homme pleura à chaudes larmes, sanglotant, hurlant son désespoir à qui voulait l'entendre. Elle caressait la joue de la défunte tout en murmurant des choses dont on ne pouvait comprendre que quelques bribes au travers des sanglots.
Non... vivre... sans toi... impossible... mourir...
Le visage rougi et déformé par les larmes, l'homme se releva et sortit son vieux couteau qu'il cachait dans sa botte.
Avant même que les personnes présentes n'aient pu réagir, il s'était enfoncé sa lame en plein coeur, et effondré à côté du corps de sa bien-aimée, qu'il rejoignait maintenant dans la mort, pour l'éternité.
Neapolion, non plus, n'était plus...

ouais merci c est sympa suis morte et on me laisse là aux chiens ...tinette de son nuage regardait la ville s'éloignait de plus en plus ...elle compris que plus rien la retenait dans ce bas monde ...

Merlinne et Ristori s'étaient écartées à la demande du sergent de police. Elles étaient horrifiées, pensant aussi à leurs enfants. Elles n'avaient pas encore quitté la scène du crime quand Neapolion arriva, titubant et se jetta sur les restes du corps de la pauvre malheureuse. Elles ne comprenaient pas ce qu'elles voyaient. Neap, pleurant Lechtinette, puis, d'un coup magistral, il s'enfonça un couteau dans le coeur.

Elles poussèrent un cri d'horreur et détournèrent les yeux des deux corps. 2, ils étaient 2 à mourir probablement à cause de ces loups. Mais de simples loups ne pouvaient faire ces atrocités! Ou ils étaient plusieurs, ou... Le mot fut lâché: loup-garou... Pourtant ils les avaient déjà battu il y a plusieurs mois... Se rappellant de la précédente chasse, elle s'écarta de Ristori. Si elle se rappellait, beaucoup de ses amis avaient été atteint par ce mal. Du coup, elle ne savait plus. Elle pris la parole devant plusieurs personnes présentes.

- Qui? On nous parle de Loups Garous. Si c'est bien cela, qui? Serait-ce Ristori? Petroi? Nadou? Tziira? Chatounne? Doran? Deedje? Ryo? Présents ici dès le lever du jour? Ou Aziliz? Juben? Qui n'ont pas montré leur bout de nez?

L'horreur lui montrait que tous ces gens lui étaient connus... Tous avaient probablement un talent caché pour la mise en scène. Tous... Elle mit sa tête dans ses mains et pleura.

Jub arriva , penart tout en sifflotant , et il s'arreta net devant la plus horrible des chose.

- AHHHHHH , c'est quoi sa mon dieu plein de sang partout.

Il tomba dans les pommes inconscient.

Comme l'avait demandé le lieutenant, Chatounne s'était éloignée et restait en retrait incapable de prendre une décision concrète. Jusqu'au moment où elle vit Juben arriver sur les lieux et contre toute attente, s'évanouir tout simplement.

En d'autre circonstance elle aurait éclater de rire. Là, elle en fut sidéré. Lui soldat, s'éfondrant ainsi. Il fallait avouer que le peut qui restait de la pauvre Lechtinette, il y avait de quoi!

Sur le point d'aller le secourir, elle se retint quand une femme qu'elle voyait pour la premiere fois lui jeta un seau d'eau a la figure, qu'elle venait de puiser à un puits pas loin.

Non! Elle ne voulait pas rentrer seule! Elle avait trop peur! Et si elle était la prochaine victime de cette chose qui avait rendu à l'état de charogne le corps de tinette.

Elle s'accroupissa sur le sol et attendit, malgré le jour qui déclinait. Malgré la foulle qui se dipersait. Pourtant il fallait qu'elle réagisse. Absolument!.

Tout a coup, une idée monstrueuse lui passa par la tete. Absurde peut-être mais là, la folie commençait à faire perdre l'esprit, et là regardant tout le monde, elle se mit à voir qu'une personne était responsable de ça! Et si elle était dans l'entourage ? Prête à bondir ? Merlinne qui priait ? Juben qui s'évanouissait ? Doran, Ryo, la lieutenant meme ?

Rooooooooooooo je deviens folle.

Disant cela elle se prit la tete entre les mains et se mit à trembler. Elle aurait bien aimer fuir à cet instant, seulement son corps le lui refusait.

Doran vit juben arriver, il fut sidéré quand il vit ce fier griffon, qui avait combattu a ses côtés une dizaine d'armées francoises s'évanouir. Doran regardait les gens autour de lui, c'est ce qu'il veulent pensa t-il...chatounne qui se tenait comme une démente, merlinne se réfugier dans la prière, juben s'évanouir, il fallait garder le sang froid dans ces moments là, ne pas charger tête baissée, Doran soupconnait déja certains villageois d'être dans le coup, Doran marcha un peu plus loin que la boulangerie et il tomba sur le corps de...qui était-ce ? Il retourna le cadavre qui gisait dans une marre de sang...Neapolion...

- COLONEL ? cria t-il....