Un début d'hiver particulièrement difficile (saison 5)

Invité

L'automne touchait bientôt à sa fin. Déjà, la morsure du gel se faisait sentir de plus en plus. Les sols étaient gelés, les petits animaux se terraient de plus en plus profondément dans la terre.

D'autres animaux, beaucoup plus gros, avaient du mal à trouver de quoi se nourrir. Certes, la journée était bien remplie et leurs estomacs ne gargouillaient pas trop. Mais leurs envies de sang frais, impossible à assouvir devant témoins, étaient elles, toujours bien présentes.

Alors, puisque la forêt ne pouvait plus leur offrir leur gourmandise préférée, ils se rapprochèrent des villages. Oh, ils commencèrent par égorger quelques moutons et quelques vaches, mais les paysans eurent vite fait de mettre leur bétail à l'abri. Ils durent se rendre à l'évidence: mes seuls proies qui étaient encore approchables, étaient les hommes.

Ces animaux primaires sortaient souvent tard le soir et seul par dessus le marché. Qui plus est, ils ne tenaient pas souvent sur leurs jambes, imbibés d'alcool, et ne prenaient jamais garde à ce qui se passait autour d'eux. Ils étaient des proies faciles. Pourtant, les prédateurs hésitaient encore. Cela ne leur couterait-il pas plus que quelques coups de bâtons?

Mais la faim et l'envie le tenaillaient... Ils ne purent plus résister... Saint Brieuc devint alors un nouveau terrain de jeu pour eux... Eux, hommes le jour et bêtes sanguinaires la nuit... Eux, dont rien que l'évocation fesait frémir les plus courageux des hommes...

Mais quel nom pouvait-on donner à ce Eux... Ils se nommaient:

LES LOUPS GAROUS!

Les habitants n'avaient qu' bien se tenir, ils allaient se déverser sur Saint Brieuc comme des mouches sur un morceu de viande avariée...

La journée allait prendre fin, la nuit arriver.
Voici la vie des briochins durant la cinquième attaque des loups garous!

hrp/ à vous de faire votre rp après moi. La première nuit sera celle de mardi soir. Mercredi matin, vous saurez qui du village aura périt sous les crocs des loups... Bon amusement. / hrp

Invité

frere Tuck sentait l'hivers arriver, il ne lui restait plus qu'unsul cochon, pour faire ces reserve de viande. Arrivé que depuis que quelque mois à saint brieux, il avait entendu parler d'attaque d'être mi homme mi loup, mais relégua vite ces histoires de comptoir au rang des mythes et legendes locales

Invité

Steline (Wouah ! Je suis vivante !) avait froid dans sa maisonnée. Elle allait, tous les soirs, boire quelques choppes de chouchen à la taverne la plus connue du village. Elle dansait, chantait, riait et buvait sans compter. Insouciante, elle revenait tard de la taverne. Elle préférait s'amuser dans tous ces lieux de beuverie plutôt que seule, chez elle, enfermée. Elle n'avait pas peur du froid. Steline ne craignait rien. C'était peut être même un tort car, elle entendait des bruits qui couraient. Il paraîtrait que des loups affamés auraient osés attaquer des moutons et des vaches. Bah ! Ce ne sont que des loups, cela arrivait souvent dans son ancien village. Elle connaît tout cela. Rien ne l'empêchait d'aller boire et reboire dans les tavernes.
Le jour, Steline devenait une ménagère. Elle faisait le ménage, elle gardait les enfants, elle prenait attention aux animaux de la forêt telle que sa magnifique licorne : Perline. C'était une amoureuse de la nature et de l'amusement. Ah ! Dommage pour elle, elle était seule et célibataire. Aurait-elle, un jour, le plaisir de rencontrer un jeune homme pour partager sa vie très amusante ? Steline a toujours été une amoureuse des gigues et des festivités.
Elle ne savait rien de ce qu'il se préparait... Si elle connaissait l'existence de ces loups devenus loups garous, elle s'enfermerait sans doute dans la taverne la plus proche, afin de ne pas être seule et d'être toujours accompagnée de ce bon chouchen.

Langue sur pattes Localisation RR : Sant Brieg Date d'inscription : 02/04/2007

L'hiver progresse ... Noël arrive ! Manon n'a que ça en tête ... Noël ... Cadeaux ... Famille ... Amis ... Sir ... Violette ... La joie est partout sur Saint-Broc, l'esprit convivial des fêtes de fin d'année règne en maître ...

Mais pour longtemps ? Quelles sont donc ces rumeurs rapportés par les voyageurs ? Simples histoires à raconter le soir ? Ou véritables faits ? Tout cela jette un froid sur le village ... L'hiver ne s'annonce pas si bien que ça, finalement ...

Mort(e) Age : 42 Localisation RR : Nord-59 Date d'inscription : 23/10/2007

Guillaumetell était assez partagé sur la joie de la période de noël, enfin surtout en cette année. Il venait de quitter sa femme, qui venait de décéder par la même occasion. Malgré cela, il était aussi heureux, il adorait l'hiver, les gelées, et la neige, et une certaine personne le rendait heureux.

La nuit était déjà présente depuis quelques heures, il marchait sous son mantel, bravant le froid, pour se mettre à l'abri dans sa chaumière, auprès d'un feu crépitant...il aurait chaud et pourrait s'endormir en regardant les flocons tomber si il se décidait de neiger comme il l'espérait.

haaaaa l'hiver! gigi aimait bien le froid, le gel! surtout quand la journée était ensoleilée! Elle passait ses journées à pêcher en pleine mer se rendait de temps à autre au bureau de la pêche et était en pleine fête de noël pour les enfants!

Le soir venu, elle changeait ses vêtement et allait s'amuser en taverne avec ses amis.

Mais aujourd'hui, alors qu'elle était dans sa barque, allongée en train de se reposer, elle entendi des pêcheurs parler...

Elle entendi les mots loups dégat, attaque, sang, elle ouvri les yeux et se leva doucement, discretement pour écouter ce qu'il se disait ... malheureusement, les barques chaviraient et gigi ne pu tout entendre!

Son coeur se mis alors à battre trés vite ... rumeur? légende? qu'allait il se passer ... ? Quoi qu'il en soit l'hiver s'annoncait rude ... que la rumeur soit réelle ou fictive ... elle ne ferait pas que du bien au village ....

Invité

Même pôs peur !
Enfin zi un peu quand même mais si ze claque des dents c'est parce qu'il fait froid ! Un peu beaucoup même !

Admin Age : 42 Date d'inscription : 15/10/2006

La mobilisation terminée, Nadou était enfin revenue de Rennes. Elle avait pris la route avec plusieurs autres frères d'arme, il était préférable de ne pas voyager seul...
En bonne peureuse, il faut bien l'avouer, Nadou était d'abord anxieuse à l'idée de recroiser un brigand, mais en plus... Tout ce qu'elle avait entendu dans les villages qu'elle avait traversés... Ca lui faisait froid dans le dos.

Alors que le groupe de marcheurs joyeux se reposait sur un chemin de terre avant de continuer sa route, une femme, qui semblait revenir du puits, est venue leur parler. Des animaux de son élevage, des vaches, avaient été sauvagement massacrées durant la nuit passée. Les autres n'ont pas semblé y prendre quelque attention. Nadou, elle, se dit que quand même, une vache... Bah, c'est déjà une belle bête quand même ! L'ours, le loup, ou que savait-elle encore, avait dû s'acharner de toutes ses forces sur le pauvre bovin.

Ils reprirent la route. Un autre village... Des chuchotements... Deux hommes... massacrés... Nadou ne put s'empêcher de faire un lien entre les deux histoires. Elle en parla à ses compagnons de route qui n'en virent là que balivernes et racontards de bourg.

Quand même... Si c'était vrai... Et bien les animaux n'attaquent pas les hommes normalement...

La route touchait à sa fin. Au petit matin, St Brieuc se dessinait enfin dans le brouillard alors que les premiers rayons du soleil éclairaient plus que faiblement le village. Chacun prit la direction de son logis.

Nadou se retrouva donc seule dans une des ruelles bien trop sombre à son goût... Le seul son qu'elle entendait était celui de son coeur qui battait à vive allure. Elle hâta le pas et arriva sur la place face à la mairie. Personne. C'était bien la première fois qu'elle la voyait déserte... Elle déglutit difficilement. Soudain, alors qu'elle essayait de se calmer intérieurement, elle fut prise de panique. Et s'ils avaient tous été massacrés comme les deux braves hommes du village voisin... Cette idée qu'elle savait pourtant stupide et saugrenue commanda ses jambes et elle se mit à courir. Tant pis si quelqu'un la voyait détaler comme un lapin. Elle courait à en perdre haleine, et arriva enfin devant son échoppe. Un coup de pied bien placé et elle entra enfin, claqua la porte derrière elle et poussa le loquet. Elle alluma toutes les bougies qu'elle trouva pour faire disparaitre la noirceur de la pièce. Puis elle souffla... Elle était enfin en sécurité, et se trouva ridicule après coup, riant seule de sa course sur les pavés.

En sécurité... Du moins, elle essayait de s'en convaincre...

Avare de sa salive Date d'inscription : 18/12/2007

*La Duchesse était de retour à Saint Brieuc depuis plusieurs jours déjà... mais elle s'était montrée assez discrète, logeant surtout en son château à Menez et revenant au village pour de longues balades sur la plage ou dans la forêt, toute à ses souvenirs.

C'est par la rumeur, entendant les gens dans la rue, qu'elle apprit le retour des loups. Ah... souvenirs aussi... les chasses...
Les mots de sa fille lui parvinrent aux oreilles. Même pas peur... Elle se pencha alors vers elle pour lui raconter les histoires, ce qu'il s'était passé auparavant...*

Ce soir on dort chez moi... dans ma maison de jeune fille... vous aurez tout plein d'histoires qui font peur...

*Elle sourit aux personnes qu'elle croisait, heureuse d'être de retour dans son village. Après tout ce n'était que des rumeurs...
Elle songea que néanmoins, il fallait qu'elle reprenne ses entrainements de tir à l'arc, afin de pouvoir se défendre contre une éventuelle attaque...*

Soumis(e) au Mestre du Jeu Date d'inscription : 18/12/2007

Compagnons, aprochons-nous de se village si alléchant ...

Soumis(e) au Mestre du Jeu Date d'inscription : 18/12/2007

La forme était encore humaine il y a 10 minutes, mais désormais, après une mutation violente, elle était devenue celle d'un Loup Garou, mi-homme, mi-Loup.
Un Loup qui se tenait sur 2 pattes aussi bien que sur 4.
Un Loup qui avait la force d'un homme charpenté comme 4.
Un Homme qui possédait autant de poils qu'un Loup
Un Homme qui possédait des crocs et une force de machoire d'un Loup affamé.....

Le loup passa sa langue sur ses babines, et lança

Allons nous rassasier, assouvir notre envie de sang frais, l'hiver s'annonce rude, il nous faudra rogner pour vivre, que l'on se gave de villageois.

Invité

Un autre loup-garou s'aprocha du troupeau. Il n'été plus humain. Ils se retrouvait tous dans la foret. Leur mâchoires s'affolait, et ils salivait.

J'ai faim mes compagnons

Soumis(e) au Mestre du Jeu Date d'inscription : 18/12/2007

La belle Iseult avait attendu son Tristan sur son banc. Maintenant la nuit... les ombres... les bruits...

Elle devait rentrer ! Ils devaient rentrer ! Enfin non... La flèche de Cupidon venait juste de les toucher... Leur amour était encore chaste...

Elle entendait des grognements. Son coeur s'affola et céda à la panique. Il fallait qu'elle se mette à l'abri...

Mort(e) Date d'inscription : 17/09/2006

A ce début d'hiver le jour tombé rapidement et le brouillard s'épaississait un peu plus chaque jour .
Les loups s'approchaient peu a peu de la petite ville calme de St Brieuc , ils avaient faim , ce qui faisait sentir un mauvais présage .
Chacun devait rester sur ses gardes , personne n'était vraiment a l'abri .
Cela lui rappelait quelques vieux souvenirs qui resurgissais a nouveau .
Il avait décidé de surveiller sa bâtisse , autant qu'il le pourrait et avait allumé un feu près de la maison ,histoire que les loups ne s'approchent pas trop .
Son sommeil était léger , a l'affut du moindre bruit , les nuits paressaient de plus en plus longue .
Il sentait que bientôt quelque chose allait se passer .......

Soumis(e) au Mestre du Jeu Date d'inscription : 18/12/2007

Les loups humèrent l'air. La chair humaine sent fort, par ici ...

Compagnons, je meurs de faim, et j'observe que vos babines frémissent d'envie de chair fraiche ... Trouvons une proie isolée qui apaisera notre faim ... pour le moment.

A présent tous bien transformés, les 5 compères s'approchèrent du village endormi. Leurs griffes cliquetaient lugubrement contre les pavés des rues vides des faubourgs de Saint Brieuc. Les loups-garous restaient toutefois prudents ; ils se déplacaient le long des murs, évitants les quelques habitations dont les entrées étaient éclairées par des torches.

Soudain ils s'immobilisèrent. Ils entendirent bien distinctement quelqu'un courir dans une rue très proche, puis une porte se claquer. Les créatures se regardèrent ; puis, d'un commun accord, se dirigèrent silencieusement vers là d'où provenait le bruit. Des lumières apparurent une à une dans l'échoppe où s'était réfugié le villageois qui avait éveillé l'attention des loups ... Des sourires avides de sang se formèrent sur les gueules des bêtes. Si tant de lumières étaient allumées, c'est bien parce que la personne était seule. Ils se concertèrent de nouveau du regard, puis se coulèrent vers la cachette de ce qui serait leur prochaine victime. Le premier loup-garou poussa doucement la porte mais vit qu'elle était verrouillée. Il sortit alors l'une de ses griffes bien aiguisées et entreprit de gratter le bois puis le fer du loquet. Ils ne résistèrent guère longtemps.La bête réussi enfin à ouvrir la porte. Elle entra rapidement, suivi de ses compagnons. La porte se referma. Tout cela avait durer quelques secondes seulement, et dans le plus grand silence ... La victime est là, elle leur tourne le dos. Elle ne voit rien venir ... C'est une belle jeune femme ... Appétissante. Elle chantonne doucement, sûrement pour se réconforter, pour combler le vide. Partout dans la pièce, des bougies sont allumées. Les loups-garous n'aiment pas trop ça, la lumière ; on pourrait facilement les voir de l'extérieur.

La victime s'arrête tout à coup de chantonner. Elle a perçu leur présence ... Elle déglutit, puis se retourna lentement ... Elle se retrouva nez-à-nez avec le plus grand des loups-garous, pour ainsi dire le chef de meute. Ses yeux exprimaient l'effroi le plus terrible. Elle tituba en arrière, et se heurta au mur de la pièce, tandis que les affamés la regardaient avec un sourire sadique ...

Son cri déchira la nuit. Le grand loup lui sauta à la gorge, et la mordit. Les quatres autres se précipitèrent, pour prendre part au festin ... Mais déjà, dans la rue, des lumières commencaient à s'allumer. Pas la temps de festoyer ! A regret, les loups-garous abandonnèrent derrière eux Nadou, laissée pour morte. Ils sortirent du village, restants dans l'ombre des rues mais ne se souciants plus du bruit qu'ils faisaient. Ils coururent jusqu'à l'orée du bois, puis hurlèrent à l'unisson. C'est ça, leur signature. Leur cri ...

Les loups-garous se transformèrent en Briochins, et s'entre-regardèrent.

Nous avons à peine eu le temps de goûter à son sang. Tant pis. Ce sera pour la prochaine fois ...

Admin Age : 42 Date d'inscription : 15/10/2006

Nadou avait eu raison d'avoir peur. Mais sans doute n'avait elle pas été assez prudente. Qu'aurait-elle pu faire de plus ? Elle avat fermé le loquet, elle avait allumé toutes ses bougies. Non, elle n'aurait rien pu faire.
Et cette femme qui revenait du puits, elle avait donc raison ! Et dire que les autres en avaient ri ! Maintenant, c'est Nadou la victime, peut être entrerait elle alors dans la légende. Dans plusieurs centaines d'années, on raconterait l'histoire d'une femme qui était rentrée chez elle après la guerre et qui s'était faite dévorer par un loup, par des loups, et garous par dessus le marché !

Nadou aurait pu se dire tout ça alors que la créature la maintenait contre le mur en la mordant au cou jusqu'au sang. Mais la terreur l'empêchait tout bonnement de penser. Tout ce qui lui passait par la tête, c'était la douleur qui enserrait son crâne comme dans un étau.
Alors que l'espèce d'animal s'occupait d'elle, sans qu'elle puisse se libérer ou se débattre tant l'effroi la paralysait, elle fixait les autres, qui étaient là et semblaient se régaler du spectacle auquel ils assistaient.
Elle avait crié, ou peut être pas, mais sans doute l'avait-elle fait. En tout cas, elle n'arrivait qu'à geindre maintenant, lâchant de petits sons plaintifs, comme un animal à l'agonie.
Au fur et à mesure que les créatures s'acharnaient sur elle, Nadou se sentait de plus en plus faible. Ses jambes semblaient avoir disparu car elle ne les sentait plus. Alors qu'elle vivait le moment le plus atroce, elle se sentait paradoxalement comme sur un nuage, comme en lévitation.

Soudain, les loups la relâchèrent, et Nadou s'affala au sol. Elle ne ressentait plus aucun de ses muscles, elle n'était qu'une enveloppe molle, sans os, presque sans vie... Résignée d'abord, elle resta un instant ramassée sur elle même, telle un pantin désarticulé, sans force, les yeux fermés, attendant une quelconque délivrance.

Entendant les créatures sortir de son échoppe, elle se redressa tout de même par on ne sait quel sursaut d'énergie, pour les regarder, sans qu'elle sache pourquoi.
C'est alors qu'elle vit que ces mêmes créatures avaient maintenant apparence humaine !
La colère s'empara alors d'elle. Comment des Hommes, avec une conscience et une morale, pouvaient commettre un tel crime ? La haine coula dans ses veines telle un onguent d'adrénaline. N'écoutant que sa soif de vengeance, Nadou se redressa, difficilement certes, en s'appuyant sur la table. Son paquetage... ses armes... Tout était là à portée de main depuis le début.

Sans plus attendre, alors qu'elle voyait les silhouettes déjà s'éloigner, Nadou fouilla dans son large sac de toile et en sortit son arc et une flèche.
Elle se précipita sur le seuil de la porte, se plaça et banda son arc, visant au hasard la première personne à sa portée. Cette dernière ne vit rien venir. La flèche se planta en plein milieu du dos. Et Frère Tuck s'effondra.

Nadou n'eut pas le temps de voir qui était sa victime qu'elle était déjà retombée au sol, face contre les pavés. Elle ferma alors les yeux, comme apaisée, et se laissa aller...

Invité

ce matin la, Frère tuck, c'était levé tôt, il alla au champ voir si son blé pousser bien, c'était la première fois qu'il voyait du blé en hivers.
Puis remontât à la rue du cochon, ou il devait faire le recensement des éleveurs de cochons du village.

Il était enfin l'heure d'aller petit déjeuner.

Frere tuck passa devant l'échoppe de nadou, la lumière était éclairer il hésita, puis continua son chemin quand il entendit courir...

Il regarda sur sa droite et vis trois silhouettes détaller et AAAHHH...
Quel était cet douleur fulgurante dans son dos, Frere tuck sentit le sang couler le long de son corps.

Frere tuck se débâtant pour atteindre l'objet planté dans son dos, tomba à genoux face à l'échoppe. Frere tuck vit nadou allonger sur le sol sont arc à la main.

Une expression d'incompréhension se dessina sur son visage et il s'écroula face contre terre.

Soumis(e) au Mestre du Jeu Date d'inscription : 18/12/2007

Loup-Garou 3 fut le dernier a quité les lieus. Au bou de la rue, il se retourna et vit que leur victime étais encore vivante. Elle était vraiment forte : elle avais réussie a prendre son arc et a tirer. Mais n'étant pas au mieux de sa forme, elle tira sur ce qui étais a sa portée ... A savoir Frere-Tuck, qui passait par hasard par là.

Un villageois de moin a éliminé pour les loups-garous !

Soumis(e) au Mestre du Jeu Date d'inscription : 18/12/2007

La victoire.....son odeur. Twisted Evil

Il était heureux, deux pour le prix d'un.
C'est moins de boulot et plus de viandes fraiches ! :pig:

Avare de sa salive Date d'inscription : 18/12/2007

*Les petites avaient semblé réjouies de ses histoires et s'étaient endormies sans problèmes, mais elle même avait eu du mal. Si ces rumeurs se confirmaient... Elle redoutait surtout le mal que ces bêtes pourraient faire à ses filles, et à d'autres, qu'elle chérissait. Elle, elle avait vu pire... Mais ses filles... Elles n'avaient que trois ans...
Ce fut ses dernières pensées....

.... avant de plonger dans un court sommeil. (dîtes que vous avez eu peur hein Very Happy

)
Un cri, des grognements, une agitation. L'aurore. Elle se leva, une boule d'angoisse naissant dans sa gorge, et se dépêcha de se vêtir. Elle jeta un coup d'oeil sur ses filles, dormant encore. Pas la peine de les affoler... Ici elles étaient en sécurité... Et le danger de la nuit était passé...

Elle sortit, et se dirigea vers un groupe de villageois, faisant face à une maison. Elle y décrouvrit le carnage. Sa filleule gisant et à quelques pas, un briochin qu'elle avait déjà rencontré dans les couloirs des casernes et bureaux de recrutement... Son âme de guérisseuse prit le dessus et surmonta son dégoût. Elle s'approcha d'eux pour les soigner, mais elle vit qu'il était déjà trop tard.
Elle se retourna vers les villageois, la soudaineté de son action et les éclairs dans son regard montraient qu'elle était en colère*

Et vous, bien sûr, vous n'avez rien vu, rien entendu ??

Langue sur pattes Localisation RR : Sant Brieg Date d'inscription : 02/04/2007

La veille au soir, Manon s'était couchée, comme à son habitude, après avoir fait mangé Violette. Sir s'endormit comme une masse, éreinté par son travail ... Manon, elle, dormit peu ; ces rumeurs lui trottaient dnas la tête ... Elle ne voulait pas que quiconque fasse du mal à Sir, ou à Violette ...

A l'aube, elle partit au poste ( comme à son habitude aussi ) ; mais sur le chemin, elle vit un attroupement de Brioches ... Elle s'approcha donc, curieuse, puis vit avec horreur une énoooorme flaque de sang étendue sur les pavés ... Là gisait Nadou et Frere Tuck, tous deux inconscients ... Manon resta longtemps là à les fixer, trop choquée pour pouvoir articuler quelque chose ou pour pouvoir aider ceux qui avaient les capacités de guérir ces blessés ...

Invité

Durant la nuit, Steline n'avait pas quitté son lit après être revenu très tard de la taverne "Le Tyl Bourris". Comme tous les soirs, elle n'avait pas envie de dormir mais l'alcool lui tournait tellement la tête qu'elle s'allongea pour se plonger dans un rêve très profond.
Le lendemain, elle se réveilla à l'aube pour retourner discuter dans sa taverne préférée...

En revenant de la taverne pour aller boire sa choppine du matin, Steline entendu dire qu'il y avait eu deux meurtres dans le village. Elle se rendit là où les "on-dit" l'emmenaient et vit alors une troupe de villageois écoeurés, d'autres un peu plus réjouis... Etrange. Elle essaya de passer entre les gens et vit alors un homme, allongé sur le sol. Il avait une flêche dans le dos. Un mort... Steline ne le connaissait pas, cependant, elle se disait bien qu'aucun homme ne méritait de mourir de cette façon. Quelle horreur ! Mais qui pouvait avoir fait cela ?

Qui a tué ce pauvre homme ? demanda-t-elle aux passants, horrifiée.

Et on lui répondit : "Cela doit être Nadou. Allez la voir, elle est dans son échoppe."

Elle se retourna vers l'échoppe qu'elle n'avait encore jamais vu auparavant. Les gens étaient aussi dedans. Elle essaya, de nouveau, de passer entre ces personnes assoiffés de nouvelles et entra dans l'échoppe. La pire horreur de la journée. Non seulement Nadou était accusée d'avoir tué un homme, mais en plus, son corps gisait, immobile, mort, sur le sol. Elle poussa un cri et laissa couler ses larmes. Nadou avait un si bel esprit, comment pouvait-on l'avoir tué ? Comment pouvait-elle avoir tué ?
Trop de doute, dans cette affaire... Steline s'effondra, regardant les villageois et haïssants les gens qui se mettaient à sourire.

Comment peut-on agir aussi bien devant une telle histoire ? Hurlait-elle.

Il lui fallait allé prier... Elle avait prévu de ne pas sortir de l'église, cette journée. Cependant, quelque chose la retenait dans l'échoppe. Elle ne savait vraiment ce que c'était mais elle attendait. Peut être allait-on en dire un peu plus...

Pourvu que l'on sache qui a fait ça ! C'est une horreur, pensa-t-elle.

Langue sur pattes Localisation RR : Sant Brieg Date d'inscription : 02/04/2007

Des pensées tourbillonaient dans la tête de Manon ...

Qui ? QUI PEUT FAIRE UNE TELLE CHOSE ! QUI, LA, DANS CETTE FOULE, SE REJOUIT DE CES MORTS ? HEIN ? QUI !!!!!

Elle ne se sentait pas bien .. Il fallait qu'elle s'asseoie ... Quel bouleversement ... Elle ne connaissait guère Frere Tuck, mais pleurais tout de même pour lui ... Mais aussi pour Nadou ... Nadou ... Chère marraine ...

Pourquoi ... POURQUOI !!!

Manon criait et pleurait tant qu'elle le put, et elle sentit que qu'elqu'un la prenait dans ses bras pour la réconforter, mais elle ne sut qui ...

Au bout d'un moment, elle se dégagea puis s'approcha des dépouilles ... Elle vit un petit sursaut du corps de Nadou ...

Est-elle vraiment morte ? Ou est-ce le fruit de son imagination ? Le fruit de son espoir ? ...

Mort(e) Age : 42 Localisation RR : Nord-59 Date d'inscription : 23/10/2007

Le vicomte de Bréhan s'était levé de bonne heure, une grosse journée s'annonçait à lui. Il s'était donc mis en route pour rejoindre son bureau quand il vit un attroupement devant une bâtisse. Les gens avaient l'air paniqué, des cris en venait, il se précipita donc pour voir ce qui se passait.

Il passa la tête par la porte après avoir bousculer les gens en demandant ce qui se passait, ....et là, allongée par terre, gisait Nadou dans une flaque de sang.

Sa chair déchiquetée, le spectacle était horrible. L'odeur, la vue....il avait envie de rendre son petit déjeuner.

C'est horrible, il nous faut trouver le coupable, nous devons le bruler en place publique, mais je crois que si je l'attrape, il n'aura pas le temps d'y arriver vif....foi de Bréhan vaut mieux qu'argent, croyez moi.

Les yeux rouges, colérique, il regarda l'assemblée.

Gigi avait relativement bien dormi sauf peut être en fin de nuit ou elle cru entendre des hurlements semblables à ceux de loups ... Rêve ou réalité elle ne savait pas ...

Elle ouvrit en grand ses fenetre pour laisser entrer la lumière et la fraîcheur du petit matin, elle vit alors que le givre était délicatement déposé sur l'herbe! "c'est jolie" pensa t-elle. le soleil commençait à pointer le bout de ses rayon lorsqu'elle vit et entendit les villageois, s'affollant, se dirrigeant tous au même endroit!

Y aller, être curieuse? curiosité malsaine? ou humaine? ou tout simplement ne pas faire comme tout le monde ... Elle se dit que cela devait etre important elle enfila ses chausses et se dirrigea vers la curiosité ...

en arrivant sur les lieux, elle vit tout un cercle de brioches là elle réalisa que cela devait être grave, elle se faufila et vit frere tuck allongé sur le sol, sans vie ... Elle ne put rien dir pendant un instant ...

Et vous, bien sûr, vous n'avez rien vu, rien entendu ?? elle se retourna et vit juallia ... "non je n'ai rien vu par contre j'ai entendu des hurlement cette nuit mais dans j'ai cru avoir rêver!

Puis elle entendie la rage le degout de steline, elle s'approcha et vie cette fois ci nadou morte, son arc en main. Elle soupira et laissa couler des larmes le long de sa joue ...

"ça fait deux morts en une nuit c'est trop!! on peut pas laisser passer ..."
Gigi faisait les cent pas quand son regard se posa net sur un lambeau de chemise, une chemise d'homme ...

"et en plus il y a des poils dessus..." sussura gigi ne sachant que faire ni comment réagir ...

» [HRP] Une nouvelle partie de loups. (saison 5)